Les événements fondateurs, les petites et grandes péripéties de la ville, les personnages marquants, les anecdotes diverses, les informations les plus variées...
Photographies et reproductions diverses, peintures, gravures, affiches, plans, cartes, publicités, menus : un aperçu de l'histoire ébroïcienne à travers l'iconographie...
1563
En 1563
Il est fait mention de la maison de Saint-Denis dans la paroisse du même nom.
Le 7 juillet 1563
Un procès-verbal est établi pour la fourniture de vivres à dix enseignes commerciales d'Évreux.
En décembre 1563
De retour du concile de Trente avec de nouvelles recommandations papales et royales, l'évêque d'Évreux Gabriel Le Veneur de Tillières annonce que l'année commencera dorénavant au premier jour du mois de janvier.
1564
En 1564
Accusé d'hérésie pour sa foi réformée, le grand-bailli Louis d'Orbec serait chassé d'Évreux par le lieutenant-général de Normandie.
La même année (1564)
Le chapitre cathédral est composé de Mgr de Postel des Minières et Mgr Denis Flambart de Sainct, peut-être chanoines honoraires ; du haut-doyen Jean Guiffart ; du chantre de Lierru ; du trésorier Boullenc ; du pénitencier Vigor ; de l'official Eudes ; du promoteur Dagommer ; des chanoines Ozenne, Garay, Buhot, Foucault, de Bretheuil, Daigueuifue (?), Delaval, de Perey, de Crestot, de Bailleul, du Buhellent de Saint-Denis de Torigny ; du secrétaire Le Saonnyer ; du vicomte du Plessis ; du curé de la paroisse Saint-Nicolas et de celui de Feugerolles ; de maîtres Martin Le Tellier, Pierre Mohier, Jehan Le Breton, Nicolas Deniault, Guy Le Jumel, Adrian Du Val et Jacques Le Mercier ; ainsi que de Jacques Croisy, Jacques Billon, Thomas Duprez, Guillaume Thabouret, Pierrot Du Chasteau, Claude Boullengier, Jacques Jardinier, Simon Lescharboult, Euvre Josse et Euvre Fizellier.
La même année (1564)
La ville d'Évreux assigne en justice le sieur Denonnant.
Le 1er janvier 1564
L'année civile et religieuse débute dorénavant le premier janvier, comme l'avait annoncé l'évêque Gabriel Le Veneur de Tillières.
Le 19 novembre 1564
Les autorités chargent Jacques Mignard d'enquêter sur le vol commis par effraction dans l'abbaye bénédictine des reliques de saint Taurin, évangélisateur historique du pays d'Évreux, et de saint Gaud, troisième évêque du diocèse selon l'historiographie chrétienne.
1565
En 1565
La ville d'Évreux assigne en justice la veuve de l'ancien receveur Morisse pour un contentieux sur les comptes dont son mari avait la charge.
1567
En janvier 1567
Condamnés à mort pour le vol avec effraction des reliques de saint Taurin et de saint Gaud trois ans auparavant, MM. Deschams et Le Gouey sont décapités après avoir eu le poing coupé, puis leur dépouille est réduite en quartiers sur la place du Grand-Carrefour. Épouse du second supplicié, Jeanne Bence a également le poing tranché mais bénéficie d'un bannissement de Normandie durant dix ans. Les ossements de saint Taurin et de saint Laud, évêques historiques d'Évreux, sont retrouvés dans les fossés Saint-Thomas, devant la porte d'habitation de Robert de Claires.
En juillet 1567
Inhumation au couvent des frères prédicateurs de Saint-Dominique de Macé Le Doulx, ancien lieutenant-général de la vicomté d'Évreux et ancien procureur général du temporel.
1568
Le 11 juillet 1568
Sous le regard consentant de l'évêque d'Évreux, six notables sont désignés dans la salle commune des bourgeois : un conseiller du présidial représentant le bailli d'Évreux, deux chanoines, un avocat ordinaire du bureau, deux notables parmi les marchands, l'avocat et le procureur du roi.
1569
1569
Le receveur des vicaires et des chanoines d'Évreux assigne en justice le sieur Leforestier, fermier de l'aide de vin.
La même année (1569)
La ville d'Évreux assigne en justice des particuliers pour possession illégale de salpêtre.
En octobre 1569
Le roi de France Charles IX érige en duché-pairie le comté d’Évreux en faveur de son frère Hercule-François de France, duc d'Alençon.
1570
En 1570
La ville d'Évreux assigne en justice le receveur Morize pour le contraindre à recevoir un emprunt.
La même année (1570)
Louys Le Mercier occupe la charge de vicomte d'Évreux, équivalent normand du prévôt et responsable d'une subdivision du bailliage. Il succède peut-être à Pierre Jubert.
La même année (1570)
Il est fait mention de la maison du Jardin d'Olives, située près du jardin de l'hôtel-Dieu.
Le 6 janvier 1570
Naissance à Evreux de Jean-Paul Le Jau, prêtre, chanoine, vicaire général d'Évreux et initiateur de l'installation des Ursulines en ville.
Le 28 avril 1570
Un arrêt décide que la nomination du principal du chapitre se fera désormais à l'hôtel de ville.
En juin 1570
Compositeur et ancien organiste du roi Henri III, Guillaume Costeley s'établit à Évreux après son mariage, et fait l'acquisition d'un moulin dans la partie basse de la ville.
Après juin 1570
Compositeur et ancien organiste du roi Henri III, Guillaume Costeley fonde la confrérie des chanteurs de la cathédrale Notre-Dame d’Évreux qu’il consacre à sainte Cécile, patronne des musiciens.
1571
En 1571
Il est fait mention de la maison de la Bouque dans la paroisse Saint-Pierre, de la maison de Saint-Sébastien dans la paroisse de la Ronde, du chemin de la Cavée-Boudin et du triège des Châteliers.
Le 18 mai 1571
Par lettres patentes, le roi Charles IX accorde au bureau des pauvres d'Évreux le pouvoir et la faculté de juger en matière civile.
1572
En 1572
Il est fait mention de la rue du pont Perrin (actuelle partie de la rue Saint-Léger), de la maison de Saint-Côme et de celle de Saint-Damien, toutes deux situées paroisse Saint-Léger.
La même année (1572)
Le receveur Roussel assigne en justice la ville d'Évreux pour obtenir le paiement d'une avance.
1573
En 1573
Il est fait mention de la maison du Cerf dans la paroisse Saint-Pierre, de la maison de l'Écu d'Orléans, située au bord de l'Iton dans la paroisse Saint-Léger, et du chemin de Dreux (actuelle rue du Chantier) qui conduit au hameau de La Madeleine.
La même année (1573)
La cathédrale Notre-Dame d'Évreux compte huit cloches réparties sur trois sommets, les deux plus petites d'entre elles étant surnommées « les Manivelles ».
Le 23 mai 1573
L'évêque d'Évreux Gabriel Le Veneur de Tillières s'engage à payer 420 livres d'avance pour la fabrication d'une nouvelle cloche destinée à la cathédrale. Elle devra peser 10 000 livres et être gravée à ses armes.
Le 23 juin 1573
Les chanoines Jehan Duprey et Nicolas Eudes transmettent le versement de 420 livres d'avance fait par l'évêque Gabriel Le Veneur de Tillières pour la fabrication d'une nouvelle cloche destinée à la cathédrale.
Le 3 août 1573
Commandée en mai par l'évêque Gabriel Le Veneur de Tillières auprès de Jehan Buret, maître fondeur à Rouen, la nouvelle cloche de la cathédrale Notre-Dame d'Évreux est livrée.
1574
En 1574
Le territoire du comté d'Évreux est renouvelé par le roi Henri III à Hercule-François de France, duc d'Alençon et par ailleurs son frère.
La même année (1574)
Il est fait mention de la maison des Trois-Roys, située rue Grande, de la maison de l'Écu de Bretagne, située sur le chemin du Roi, de la maison de l'Image de Saint-Éloi dans la paroisse Saint-Denis, et de celle de l'Image de Saint-Pierre, située près de la rue de la Guihaude.
Le 16 mai 1574
Mort au château familial de Gabriel Le Veneur de Tillières, commendataire de l'abbaye de Lyre, de Saint-Évroult, de Jumièges et de Saint-Taurin, et évêque d'Évreux depuis 1534. Son corps est ensuite transporté à l'abbaye des bénédictins puis inhumé dans le choeur de la cathédrale par Simon Vigor, archevêque de Narbonne.
Le 15 novembre 1574
Vigoureusement opposé aux doctrines protestantes comme son coreligionnaire Simon Vigor, Claude de Sainctes est nommé évêque d'Évreux dans l'espoir de contenir l'expansion des idées réformées.
1575
Vers 1575
Jean VI Le Doys est nommé abbé de Saint-Taurin et succède à Gabriel Le Veneur de Tillières qui fut par ailleurs également évêque d'Évreux de 1534 à 1574.
En 1575
Le panageur de la forêt d'Évreux assigne en justice les habitants du hameau de Nestreville (actuel quartier de Nétreville).
La même année (1575)
La ville d'Évreux assigne en justice le baron de Bec-Thomas pour un contentieux d'ordre pécuniaire.
Fin mars 1575
Claude de Sainctes, nouvel évêque d'Évreux, est reçu par les moines bénédictins de l'abbaye de Saint-Taurin.
Le 23 novembre 1575
Concours de composition et de poésie créé cinq ans auparavant par Guillaume Costeley, la première édition du Puy de musique d’Évreux voit plusieurs compositeurs récompensés : Orlande de Lassus, maître flamand de la chapelle de musique du duc de Bavière, pour son mottet Domine Jesu Christe à l'orgue ; Raymond de La Cassaigne, maître gascon des enfants de Notre-Dame de Paris, pour son Quis miseretur à la harpe ; Jacques Salmon, chantre picard et valet de chambre du roi, pour son Je meurs, pensant à ta douceur au luth ; Nicolas Millot, maître de la chapelle de musique du roi, pour ses Espicz sont à Cérès au luth ; Eustache du Caurroy, chantre de la chapelle de musique de roi, pour Rosette pour un peu d'absence au cornet ; et Jehan Boette, maître des enfants de choeur de Notre-Dame d'Évreux, pour Heureux qui d'équité au triomphe.
Le 27 novembre 1575
Nommé fin mars et reçu depuis par les bénédictins de l'abbaye de Saint-Taurin, Claude de Sainctes prend possession de l'évêché d'Évreux.
1576
En 1576
Il est fait mention de la ruelle du Trou-Bailli, (future rue du Trou-Bailly puis rue Traversière).
La même année (1576)
L’évêque Claude de Sainctes rappelle au chapitre, aux abbés et aux curés de son diocèse, que jadis :
(...) il ne se trouvait pas, pour ainsi dire, une paroisse qui n’eût une maison et une fondation affectées aux écoles, où l’on formait la jeunesse à la foi, à la piété, à la science.
Le 23 novembre 1576
Concours de composition et de poésie créé six ans auparavant par Guillaume Costeley, la deuxième édition du Puy de musique d’Évreux voit plusieurs compositeurs récompensés : Eustache du Caurroy, chantre de la chapelle de musique du roi, pour Tribularer si nescirem à l'orgue ; Georges de La Hèle, maître des enfants de choeur en la ville de Tournai, pour son Nonne Deo subiecta erit anima mea à la harpe et pour son Mais voyez mon cher esmoy au luth ; Claude Petit-Jan, maître des enfants de choeur en l'église cathédrale de Verdun, pour Ce riz plus doux à la lyre ; Claude Le Painctre, maître de la chapelle de musique de M. de Villeroy, pour Un compagnon frisque et gaillard à la flûte ; Fabrice Marin Caietain (?), maître italien de la chapelle de musique du duc de Guise, pour C'est mourir mile foys le jour au cornet ; et Barillault pour Race de roys au triomphe.
1577
En 1577
Prince d'Épinoy et chevalier de la Toison d'Or, Pierre de Melun est peut-être commissionné pour remplacer le grand-bailli d'Évreux, représentant judiciaire de l’autorité royale sur des questions d’ordre administratif, fiscal et criminel.
La même année (1577)
Il est fait mention de la maison de la Belle-Étoile dans la paroisse Saint-Pierre et de celle de la Crosse dans la paroisse Saint-Denis.
Le 31 octobre 1577
Il est fait mention de la sente allant de Saint-Gratien à La Madeleine au Buisson-Hocpin.
Le 23 novembre 1577
Concours de composition et de poésie créé sept ans auparavant par Guillaume Costeley, la troisième édition du Puy de musique d’Évreux voit plusieurs compositeurs récompensés : Michel Fabry, chantre provencal de la chapelle de musique de la reine-mère Catherine de Médicis, pour Aspice Domine à l'orgue ; Jehan Pennequin, maître des enfants de choeur de l'église cathédrale d'Arras, pour Dieu vous gard à la lyre ; et André Sonnoys, maître champennois, pour J'ay un ioly courtaut à la flûte.
1578
Vers 1578
Le domaine immédiat de l'abbaye bénédictine de Saint-Taurin s'étend grossièrement du vignoble des coteaux de la colline Saint-Michel au bois de la route de Caugé et au triège de Pennette (actuelle rue de Pannette).
En 1578
Les actes civils et religieux mentionnent le Moulin Vieux, la rue aux Bouchers (actuelle rue Isambart) et le triège de Pennette (actuelle rue de Pannette).
La même année (1578)
Naissance à Évreux d'Adrien Béhotte, chanoine, grand archidiacre de Rouen, théologien, controversiste et traducteur.
La même année (1578)
Le pré du Bel-Ébat, terrain limitrophe à l'ancien domaine de Navarre situé à l'ouest de la ville d'Évreux, appartient à M. Mouton.
Le 23 novembre 1578
Concours de composition et de poésie créé huit ans auparavant par Guillaume Costeley, la quatrième édition du Puy de musique d’Évreux voit plusieurs compositeurs récompensés : Étienne Testard, maître des enfants de choeur en la Saint-Chapelle de Paris, pour Ceciliam intra cubiculum à l'orgue ; Jean Planson, organiste en l'église collégiale de Saint-Germain-de-l'Auxerrois à Paris, pour Aspice Domine à la harpe et Ah ! Dieu que de filetz au triomphe ; Jean de Maletty pour Veu la douleur au luth ; et Robert Goussu, maître de la chapelle de musique du château d'Anet, pour Aux créanciers à la lyre.
1579
En 1579
Aucun prix n’est remis cette année-là au Puy de musique d’Évreux, concours de composition et de poésie créé neuf ans auparavant par Guillaume Costeley.
La même année (1579)
Le sergent royal Dernault assigne en justice la ville d'Évreux pour obtenir le paiement d'une fourniture d'avoine.
La même année (1579)
La ville d'Évreux assigne en justice le chapitre cathédral au sujet d'une participation à un emprunt.
La même année (1579)
Le receveur de la ville d'Évreux assigne en justice le sieur Chenu au sujet de la caution de l'adjudication du pavage de la rue du Pont-Perrin et de la ferme des petites hallettes.
La même année (1579)
Les bouchers assignent la ville d'Évreux pour un contentieux portant sur une aide sur les graisses, cuirs et poils.
Le 9 avril 1579
Une nouvelle crue de l'Iton provoque quelques inondations.
Le 20 avril 1579
Naissance à Évreux d'Isaac de Civille, chevalier protestant, conseiller du roi et commissaire des guerres.
1580
Vers 1580
Doyen et chanoine de Rouen, Guillaume VII de Péricard est nommé abbé de Saint-Taurin et succède à Jean VI le Doys. Il sera évêque d'Évreux de 1608 à 1613.
En 1580
La ville d'Évreux assigne en justice les sieurs Nervet et Troussey pour dégradations des murailles et constructions illicites.
Le 6 avril 1580
Un séisme notable, dont l'épicentre se situe dans le pas de Calais au niveau de Douvres, est ressenti en toute fin d'après-midi à Évreux.
Le 23 novembre 1580
Concours de composition et de poésie créé dix ans auparavant par Guillaume Costeley, la cinquième édition du Puy de musique d’Évreux voit plusieurs compositeurs récompensés dont Jean Girard, chantre et chapelain en l'église cathédrale d'Évreux, pour De mon feu, de mon pleurs à la lyre et Robert Goussu, maître de la chapelle de musique du château d'Anet, pour Aspice Domine à la harpe.
1581
En 1581
Chanoine d'Évreux, Étienne Le Velu est nommé prieur de Notre-Dame-du-Lesme.
La même année (1581)
Compositeur, ancien organiste du roi et fondateur du Puy de musique d’Évreux, Guillaume Costeley achète un office d’élu aux affaires fiscales.
La même année (1581)
La ville d'Évreux assigne en justice les héritiers Duroussay pour un contentieux portant sur l'office de visite et l'aunage des draps.
Le 16 juillet 1581
Évêque d'Évreux depuis 1574, Claude de Sainctes institue la fête de Saint-Éterne, en célébration de ce prélat incertain du VIIe siècle.
Le 23 novembre 1581
Concours de composition et de poésie créé onze ans auparavant par Guillaume Costeley, la sixième édition du Puy de musique d’Évreux récompense plusieurs compositeurs : Jacques Mauduit, greffier parisien aux requêtes du Palais, pour Afferte Domine à l'orgue ; Michel Nicole, compositeur parisien, pour In voluntate tua domine à la harpe ; Germain Le Boudier, maître des enfants de choeur de Notre-Dame de Nantes, pour Et la fleur vole au luth ; et Michel Fabry, chantre provencal de la chapelle de musique de la reine-mère Catherine de Médicis, pour O, beau laurier à la lyre.
1582
En 1582
Jehan Labiche occupe la charge de vicomte d'Évreux, équivalent normand du prévôt et responsable d'une subdivision du bailliage. Il succède peut-être à Louys Le Mercier.
La même année (1582)
Robert Roussel n'assure plus les fonctions de curé de la paroisse Saint-Nicolas d'Évreux qu'il occupait depuis 1535.
La même année (1582)
L'évêque Claude de Sainctes bénit les châsses contenant les reliques de saint Taurin et de saint Laud, respectivement évangélisateur historique et évêque primitif de l'Évrecin.
Le 31 mai 1582
L'évêque Claude de Sainctes conduit à Saint-Germain (actuel quartier de Navarre) une procession générale portant les châsses de vermeil qui contiennent les reliques de saint Taurin et de saint Laud.
Le 23 novembre 1582
Concours de composition et de poésie créé douze ans auparavant par Guillaume Costeley, la septième édition du Puy de musique d’Évreux récompense Michel Malherbe, maitre des enfants de choeur en l'église cathédrale de Coustances, pour Heu michi Domine à la harpe et Nicolas Mazouyer, maître des enfants de choeur en l'église cathédrale d'Autun, pour Mon Dieu, mon Dieu que j'ayme à la lyre.
1583
En 1583
L'évêque Claude de Sainctes lance les travaux des deux travées du cloître jouxtant la cathédrale Notre-Dame d'Évreux.
Le 23 novembre 1583
Concours de composition et de poésie créé treize ans auparavant par Guillaume Costeley, la huitième édition du Puy de musique d’Évreux récompense plusieurs compositeurs : Orlande de Lassus, maître flamand de la chapelle de musique du duc de Bavière, pour Cantantibus organis à l'orgue ; Eustache du Caurroy, chantre de la chapelle de musique du roi, pour Beaux yeulx au luth ; Robert Goussu, maître de chapelle de musique du château d'Anet, pour O, beau laurier à la lyre ; et Abraham Blondet, musicien parisien, pour Tu domine benignus es à la harpe.